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Que réserve l'avenir à la cryogénisation ? Découvre plus d'informations sur les perspectives ici.
Tu connais déjà le statut actuel de la cryogénisation et de la Biostase, mais tu es toujours perplexe quant à son avenir ? Tu veux savoir ce qui va suivre et où nous allons à partir de maintenant ? Dans ce cas, il suffit de lire cet article pour obtenir des réponses aux questions les plus fréquemment posées sur l'avenir de la cryogénisation. Ou encore, consulte notre vidéo, dans laquelle nous avons interviewé notre fondateur et PDG , le Dr Emil Kendziorra, et à notre chercheur médical, Irishikesh Santhosh, et leur avons demandé ce que l'avenir de la Biostase leur réserve. N'oublie pas que personne ne peut prédire l'avenir. Nous ne pouvons pas garantir que nos prédictions se réaliseront.
Le prix actuel de la cryopréservation est un problème commun à l'intérieur et à l'extérieur de la communauté. Aux États-Unis, il existe plusieurs gammes de prix différentes, allant de 28 000 $ à environ 200 000 $. Le prix de Tomorrow est de 200 000 euros, mais il peut être divisé en paiements mensuels abordables grâce à une assurance-vie temporaire. Malgré cela, l'option la moins chère reste difficile à payer pour certains.
Chez Tomorrow, nous pensons que la cryopréservation devrait être une option pour tous, et pas seulement pour les riches et les nantis. Nous travaillons activement à réduire le coût au fil du temps. Le plus grand obstacle à ce stade vient du faible nombre de personnes qui s'inscrivent pour la cryopréservation. Cela rend le coût du personnel, de la conservation et des procédures médicales par patient respectivement élevé.
Si de plus en plus de personnes s'intéressent à la question et adhèrent au programme, le prix baissera progressivement, mais de manière significative, à mesure que nous augmenterons l'échelle de nos opérations.
Il est tout à fait possible qu'au cours des prochaines décennies, les prix chutent jusqu'à une fourchette de cinq chiffres, pour finalement arriver à environ 10 000 $, une fois qu'il aura atteint le grand public.
Tout ce qui concerne le processus de réanimation n'est que pure spéculation à ce stade. Nous ne savons pas quel type de technologie sera utilisé pour réanimer les gens, lorsque les progrès de la médecine seront suffisamment avancés pour que cela soit possible dans le futur. Ce que nous pouvons faire, c'est faire des prédictions sur la base des données actuellement disponibles.
Le plus grand défi auquel nous sommes confrontés actuellement, lorsqu'il s'agit de réchauffer les patients, est la formation de cristaux de glace qui se produit pendant le processus de chauffage. Crois-le ou non, réchauffer quelque chose ou quelqu'un en partant de -196°C demande beaucoup plus de réflexion que de simplement le mettre au micro-ondes, comme certains pourraient le croire.
La solution la plus probable à ce problème est le nano-chauffage. Le nano-réchauffement est une nouvelle technologie qui permet un chauffage très précis à l'échelle nanométrique. C'est nécessaire, car les différentes cellules du corps doivent être chauffées à des vitesses différentes, pour éviter de les endommager.
Si la nanotechnologie continue de progresser, il est fort probable qu'elle puisse aider à réchauffer les patients cryopréservés.
Une fois encore, comme pour de nombreuses prédictions de l'avenir, nous entrons dans le domaine des spéculations. Les lois peuvent changer au fil du temps, il est donc impossible de dire à quoi elles ressembleront, une fois que les gens pourront être réanimés.
Cela dit, nous n'avons aucune raison de penser que la réanimation d'êtres humains cryoconservés soulèverait de nombreuses difficultés juridiques, voire aucune.
Actuellement, si tu te perds en mer pendant assez longtemps, tu seras légalement déclaré mort. Si, plus tard, on te retrouve vivant et en bonne santé, tu peux entamer une action en justice pour recevoir un nouveau passeport et faire passer ton statut de « mort » à « vivant ».
Cela n'est, bien sûr, pas tout à fait comparable au type de réanimation dont nous parlons avec la cryogénisation. Il nous donne cependant un aperçu de la manière dont les réglementations en la matière fonctionnent actuellement. Nous ne pensons pas qu'elles changeront trop radicalement à l'avenir.
Le plus gros problème auquel nous sommes confrontés en ce qui concerne agents cryoprotecteurs est leur toxicité inhérente. Cette toxicité est différente selon les températures. Pour réduire la toxicité pendant la perfusion, les concentrations d'agents cryoprotecteurs sont augmentées progressivement, tandis que les températures sont abaissées graduellement. S'ils sont administrés à des degrés très bas, ils ont un niveau de toxicité beaucoup plus faible que ces mêmes protecteurs à des températures plus élevées.
Différentes combinaisons de produits chimiques font l'objet de recherches, afin d'équilibrer les parties efficaces, mais toxiques, et les anti-toxines. Cela permet de maintenir la toxicité au minimum, tout en assurant une protection efficace.
En fin de compte, les chercheurs s'efforcent de trouver une solution qui élimine complètement les toxines de l'équation.
Réponse courte : Pas de sitôt. Le nombre de membres augmente régulièrement, mais nous parlons pour l'instant de dizaines de personnes par an. C'est encore loin du « grand public ».
Une fois que l'on disposera de plus de données qui convaincront davantage de personnes de s'inscrire à la cryopréservation, le domaine connaîtra probablement une croissance exponentielle. En principe, nous parlons probablement de plusieurs décennies à partir de maintenant.
Maintenant que nous avons passé en revue plusieurs questions pressantes sur l'avenir de la Biostase, c'est à toi de décider comment procéder.
Bien qu'il faille encore attendre quelques dizaines d'années avant de pouvoir répondre de manière plus précise à un grand nombre de ces questions, tu as le privilège de pouvoir choisir. Veux-tu t'inscrire à la cryopréservation et peut-être voir toutes les réponses par toi-même dans le futur ?
Si tu as d'autres questions sur l'avenir de Biostasis, n'hésite pas à prendre rendez-vous avec nous.
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